Le malaise de l’école marocaine





Certes, le développement socio-économique d’une nation est intimement lié à l’efficacité de son dispositif éducatif. Investir aujourd’hui dans le capital humain vaut mieux toutes les richesses du monde entier. Le développement durable, la monnaie courante dans toute politique qui se veut promotrice et réelle ne peut se faire la volonté et l’implication 2tat et société. 



Nous vivons dans un monde en évolution permanente ; el mondialisation nous interpelle à s’impliquer corps perdu dans son parcours. L’école étant le milieu propice où on forme le citoyen de demain est devant un grand défi .c’est un défit qui ne peut soulever une école en régression successive et qu'est plongée dans les contradictions ; le cas de notre école. 

Bien que cette dernière décennie on assiste à une certaine réforme et mobilisation de grande envergure, beaucoup de choses restent à faire .Entre autres la formation du corps enseignant aux nouvelles approches pédagogique-didactiques, puisqu'il est le facteur primordial dans la réussite de toute réforme.

Le mauvais classement de notre pays sur le plan éducatif, a poussé les autorités de l'éducationel de la formation à improviser en certaines décisions. Ainsi on recourt au recrutement des enseignants sans aucun formation ni introduction préalable à ce métier de haut risque. Ce qui va a l’encontre du discours de la qualité de l’enseignement et le slogan de l’école de la réussite. L’école publique au Maroc est vraiment misérable. Elle a été et le reste une souris d’expériences .le malheur dans ceci, mais dans le fait que les grands tuteurs sur ce domaines ratent toujours le rendez-vous avec le sujet delà priorité scolaire. Pas aussi longtemps, c’est-à-dire après l’Indépendance la politique éducative détermine comme les quatres principes (généralisation ,uniformisation ,arabisation et marocanisation de l’enseignement) .Ces fameux principes qui représentent les grandes facettes de notre politique éducative n’iront pas très loin puisque bien qu’on a « marocanisé » le corps enseignant et arabisé les contenus d’enseignement ,il n’en est ainsi pour la généralisation qui s’est faite au détriment de la qualité de l’enseignement et la prétendue uniformisation qui ne touche que l’enseignement public. 

Si vraiment nous voulons avoir une école ouverte sur son environnement ; nouvelle et renouvelable on doit lui donner son statut convenable, et l’intérêt suffisant, nous tous gouvernement et société civile. L’école au Maroc n’a pas encore réussi à attirer l'attention des parents parce qu’elle était l’endroit des iniquités .En témoigne l’absence de confiance des parents en l’école et restent peu impliqués et trop démissionnaires .Alors que dans les sociétés qui se respectent les parents font partie intégrant de du dispositif éducatif, ils sont appelés à faire le suivi de leurs enfants. Ils nourrissent le débat sur l’école et son utilité. Former un citoyen responsable ne consiste pas à réviser le les curricula, mais à préparer l’environnement adéquat pour la citoyenneté : démocratisation de l’enseignement. Un grade espérance nous laisse croire à l’épanouissement de notre enseignement et la promotion de notre école un jour à venir, alors redoublons nos efforts et ayant tous de nobles intentions vis-à-vis de nos petits marocains, défavorisés et démunis. C’est le moment ou jamais pour ce faire ! 


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